Bernard Rodau a testé le Kyocera FineCam SL400R

Le célèbre photographe de publicité Bernard Rodau, adepte et spécialiste du noir et blanc, a accepté de laisser ses boîtiers argentiques de côté pour tester le compact numérique Kyocera FineCam SL4ooR. Il nous livre ses impressions.

 

Jusqu’ici, votre talent s’est exprimé exclusivement sur film noir et blanc. Que vous inspire fa photo numérique?

Je trouve que la photographie numérique n’est pas une continuation de la photographie argentique. Je l’aborde personnellement comme une discipline complètement nouvelle, et quand je vois l’univers de possibilités qu’offre un appareil comme le Kyocera FineCam SL4ooR, ça me fascine autant que la montée d’une image dans le révélateur. J’ai l’impression que les technologies numériques ont réinventé une autre photographie, dont les repères ont changé, et les outils aussi. Je pense qu’un appareil photo numérique ne peut pas être une simple adaptation d’un appareil argentique. Il faut envisager les choses autrement.

Quelle a été votre première impression quand vous avez pris te Kyocera FineCam SL400R en mains ?

Il m’a surpris, justement parce que son design original marque une rupture avec la conception des appareils photo classiques. Il m’a aussi bluffé. C’est incroyable de pouvoir faire des photos avec un appareil à peine plus grand qu’une carte de visite. Comme il est très compact et extra-plat, je l’aurai toujours sur moi, glissé dans une poche. Je l’ai emmené à un mariage, et je dois l’avouer, l’appareil suscite beaucoup de curiosité.

Que pensez-vous de t’ergonomie du SL4ooR ?

Je trouve l’appareil pratique et vraiment bien pensé. L’objectif pivotant permet de faire des photos discrètement et de trouver des angles intéressants, même au ras du sol. La visée sur écran ne, me déroute pas du tout, dans la mesure où j’ai l’habitude de prendre des photos avec un viseur de poitrine. Ce n’est pas différent, si ce n’est que l’image est redressée sur le FineCam SL4ooR.

La technologie intégrée dans le Kyocera FineCam SL400R vous parle-t-elle ?

Pour moi, la technologie, c’est comme la technique. Elle n’a de sens que par rapport au résultat qu’elle permet d’atteindre. Sur je FineCam S4ooR, elle est au service de la photo, et c’est tout ce que j’en attends. L’appareil est réactif, ses automatismes sont fiables et son écran reste lisible en toute situation. C’est sûrement un concentré de technologie, mais ce qui m’importe surtout, c’est qu’il délivre des images de qualité, même dans des conditions de lumière difficiles.

Avez-vous réussi des photos que vous n’aviez jamais réussi avant ?

C’est sûr que la technologie intégrée, dans l’appareil facilite beaucoup les choses: les nombreux automatismes et modes de prise de vue donnent les moyens de réussir des clichés en toute circonstance, et l’électronique fait des miracles, notamment en ce qui concerne la cadence de prise de vue. La rapidité de l’appareil en mode rafale incite à faire des séries d’images. Ensuite, il ne reste plus qu’à choisir le meilleur cliché. Et l’absence de retard au déclenchement permet de capturer ce que je vois au moment où je le vois, et pas une seule fraction de seconde plus tard.

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